Un long couloir sinueux et sombre, une simple bougie éclairée les murs de la salle d’attentes, l’ambiance était oppressantes… Si les murs pouvaient parler, surement raconterait il une histoire à vous faire dresser les cheveux sur la tête. Mais ils restaient muet, paralysé par de sombres et anciens souvenirs que nulle personne ne pouvait connaître dans sa globalité. J’avais l’impression de moi même faire partis de ce tableau. Soudain, j’entendis une voie douce et écoeurante de courtoisie prononcer mon nom… Je n’étais pas habitué à la politesse, juste à la déstabilisante cruauté de ce monde. Je me levais néanmoins, saisissant la seule chance qui m’était donné de prendre le contrôle de ma vie.


Après quelques mètres, une jeune femme m’avais introduis dans un bureau. Il débordait de décoration typique du dixième-huitième siècle, dans l’âtre de la cheminée, un feu ronronnait doucement, laissant de douce volupté de chaleur caresser ma peau. Derrière cet évidant étalage de richesse, je retrouvais néanmoins la même sensation que dans la salle d’attente… J’étais dans la clinique Saint Elizabeth, le plus ancien établissement psychiatrique de toute la Russie. Ici, de nombreuses personnes avait était les cobayes des balbutiements de la psychanalyse et si vous trouvez que les moldus avec leurs électrochocs étaient de véritable barbare, ne regardez jamais les archives de que les sorciers infligeais aux à leurs propres malades ! Surtout à l’aire des Romanov.
Derrière un imposant bureau en chêne, un petit homme au teint grisonnant m’invitant à m’asseoir d’un léger signe de tête. Il pris la parole alors que je commençais à m’installer.

« Melle Jefferson, c’est un plaisir. »
« Docteur… Faisons fis des convenances, j’ai beaucoup de choses à faire. »
« Comme vous le souhaitez ! Comme vous le savez j’ai du dresser un profil de votre personnalité pour le ministère afin de juger si votre demande d’émancipation est recevable. Je dois vous dire que notre entretien à étais très enrichissant… Il est rare de trouver quelqu’un d’aussi jeune et qui dispose d’un caractère aussi fort ! Bref, vous avez des choses à faire, je vous remets donc le bilan, si vous êtes d’accord avec ce qui est écrit dessus, signez le, il partira sans tarder pour le ministère. »

La main légèrement tremblante, la jeune femme pris la lettre et entrepris de lire les lignes inscrites par la sublime calligraphie du psychiatre.

Mr et Mme de la commission.
Comme le veux la législation en vigueur, j’ai étudié le cas de Mademoiselle Pandore, Opium Jefferson quant à sa demande d’émancipation.

Je tiens tout abord signaler que les motivations quant à sa demande son tout à fais valable. Une enquête à était faire dans son domicile et il semble flagrant que l’environnement dans lequel elle à grandit peu nuire à son développement mental et affectif. Vous trouverez si joint à cette lettre un compte rendu de cette investigation effectué par le bureau aux aides familiales du ministère de la magie.
Pour parler de Melle Jefferson, je dois d’abord vous faire part du courage et de la détermination qui la caractérise, je veux pour preuve la façon dont elle à su ce battre contre les services juridique pour nous prouver la justification de sa requête mais aussi de sa stabilité mentale, suffisante pour ce défaire d’une vie tortueuse et de tout faire pour s’y échapper. Contrairement à ce que nous ce que nous voyons dans le cas de mineur désirant ce soustraire à l’autorité parentale, Melle Jefferson possède les outils nécessaire pour survivre par ses seuls moyens, je dirais même que le simple fait de la laisser dans son environnement actuel serai beaucoup plus préjudiciable.
Elle est débrouillarde et son sens aigue de la vie et des danger qu’elle comporte fais d’elle quelqu’un de beaucoup plus mûr que beaucoup d’adulte que je considère pourtant comme des amis. Elle à un caractère fort, entier. Elle sait ce qu’elle veut et son de celles qui détruiront méticuleusement.
Lors de l’examen en état de sommeil paradoxal, j’ai pu constater que de lourdes cicatrices jalonne sa vie. Aussi je vous conseille d’enquêter sur un certain Mr Dimitri Lioubov qui aurait abusé d’elle alors qu’elle n’avait que 14 ans. Sa première relation sexuelle n’étais pas consentante ce que ne la pourtant pas empêcher de lever la tête et de faire face à la vie avec une rage que je n’avais pas encore vue jusqu'à aujourd’hui. Ne vous y détrompez pas, quand je parle de rage, je parle de rage de vivre, de ce libérer de es chaines et d’enfin pouvoir avancer le cœur tranquille.

Mr et Mme de la commission, mon avis est donc positif quant à la demande de Melle Jefferson, son émancipation est la seule solution viable.

Sincère salutation
Docteur Sergeï Oulianov.

Enfin je m’octroyais de reprendre ma respiration tendis qu’un léger sourire illumina mon visage. J’avais gagné ! Bon certes, je n’avais pas prévus qu’il sache pour Dimitri, un client de ma génitrice qui avait eu envie de ce faire un fantasme en couchant avec une mère et sa progéniture… Celle ci n’y avait pas vu d’inconvénient étant donné qu’il proposé de payer double ! J’avais eu beau essayé de lui enfoncer mes doigts dans les yeux, le bougre m’avait frappé au visage, me laissant à quelques pas de l’inconscience… juste assez réveillé pour sentir sa peau contre la mienne… Bref, j’avais décidé de me régler moi même de son cas mais finalement la justice Russe s’en chargera pour moi !
Le principal était que se bon vieux docteur ne s’était pas rendu compte de la cruauté se cachant derrière mes petits sourire, du petit commerce de drogue que j’avais monté pour payer mes études ni même d’une liste assez considérable de défaut… Une petite liste ? Voyons voir… Manipulatrice, sauvage, perverse, caractérielle, violente… ni même la façon dont je pouvais être paradoxale, douce et tendre et à d'autre moment dure et sure de ma suprématie... Ne me prenais pas une de ses princesses des glaces, froide et impersonnelle qui ne s’amuse qu'avec un verre de vins hors de prix à la main. J'aime chanter, danser, m'amuser... j'ai vécus dans la rue ! Et quand on y est confronté, on dois savoir trouver sa place ou s'écraser. J’avais biens fais de ‘entrainer à l’occlumancie, il n’avait vu de moi ce que j’avais bien voulus lui montrer…
Saisissant une plume qui trainait sur son bureau, je la signais avec délectation, appréciant chaque courbe des lettres que je traçais, aujourd’hui je prenais le contrôle de ma vie, aujourd’hui, j’étais libre.


Je n’avais plus qu’une idée en tête, sortir de l’atmosphère oppressante de cette clinique et ce le plus rapidement possible ! Après avoir échangé les habituels échanges de politesse avec le psychiatre, je marchais très vite en direction de l’ascenseur et m’engouffra rapidement dans l’étouffante boite en acier. Alors que je commençais à descendre les 16 étages qui me séparaient de la sortie, je regardais dans le miroir qui était fixé sur une paroi. Mon reflet me lança un petit clin d’œil complice, il devait avoir reçus un quelconque enchantement… Dans tous les cas, je ne pouvais être que satisfaite de l’image que je projetais au monde.



Grande, je ne l'avais jamais été. J'avais toujours était plus petite que les autres enfants du quartier. Aujourd'hui, à 17 ans, j'étais à peu prêt sûre de ne gagner qu'un centimètre au maximum avant que la puberté ne finisse. En soi ce n'était pas gênant ! J'aime à penser que beaucoup d'autres femmes dans le monde ne mesure qu'un mètre cinquante-huit... Ce n'était pas vraiment gênant même si je n'aimais pas trop que les gens aient besoin de baisser les yeux pour pouvoir me regarder dans les yeux quand ils s'adressent à moi... mais bon, ce n'était pas grand chose !
Encadré par d'épais cheveux Brun, mon visage était surement mon outil de séduction le plus abouti et accessoirement, la seule chose décente que ma mère ne m'avais jamais donné... Car oui je lui ressemblais beaucoup. Le teint pâle, des yeux bleus tirant sur le vert quand le soleil arrivait à percer les épais nuages russes. Des lèvres charnues qui laissait souvent songeur les garçons que je rencontrai au moins autant que l'intensité du regard que je lançais à ceux et celles avec qui j'aimerais avoir plus qu'une simple relation amicale. Pour le reste de mon corps, je suis mince mais, pas dans le genre athlétique, disons que mes muscles sont ridiculement petits et que je ne ferais pas long feu si on venais se battre contre moi à la façon des moldus c'est-à-dire à coup de point et de pieds... M'enfin, je suis suffisamment perverse pour palier à ce genre de désavantage physique. Ne pesant que 48 Kg, on peu assez bien imaginer la taille de mes attributs ! Oui ils sont petits, mais rond et d'une fermeté dès plus appréciable. Cependant, la taille de ma poitrine à toujours était le sujet sur lequel on la taquinait quand j'étais à Durmstang, entourée par quelques mâles qui, ne songeait qu'à les voir de plus prêt... Comme si le fait de se moquer de ma poitrine allez me rendre plus encline à le leur montrer, pfff, qu'elle bande d’abruti !

Au niveau des vêtements, disons qu'il est assez facile de faire le tour ! N'ayant jamais eu d'argent de poche et ne voulant pas se rabaisser à faire la manche ou comme ma mère, à échanger des services en nature contre moins d'un galion, j'avais monté un petit commerce qui m'avais permis de ramasser une rente des plus satisfaisante. La quasi totalité de mes bénéfices étaient versés à l'école, le reste à des vêtements. Ne voulant pas de fringues d'occasions je n'achetais qu'au fur et à mesure et bénirais surement la première personne lui offrant des habits... Les livres c'est bien beau mais, il fallait être pragmatique ! Alors, si vous devenez mon pote et que vous cherchez une idée de cadeau... par pitié pas de bouquin !


⇒ A une parfaite maitrise de l’occlumancie, elle était très… proche de l’enseignant qui enseigné cette matière à Dursmstang et à réussie à lui extirper quelques petits secrets sur la matière.

⇒ A un phénix tatoué dans le dos et recouvrant tout ce dernier.

⇒ C’est fais violée alors qu’elle n’avais que 14 ans, sa première relation sexuelle. Sa mère a participée à la curée.

⇒ A étais émancipé la veille de sa rentrée (elle même différé à poudlard) à 17 ans, deux ans avant d’être majeure.

⇒ A fuis vers l’Angleterre pour ce construire une nouvelle vie et pour découvrir l’identité de son père qui vivrais dans la région.

⇒ A appris l’anglais en regardant des séries TV en Vost-Russe, en dépit d’un très fort accent, elle ne ce débrouille pas trop mal.

Je n’ai pas exactement eu une enfance classique, celle d’une petite fille dorlotée par son papa pendant que sa maman prépare un bon repas dans une cuisine tout équipé made in Ikea. Je pense que l’absence de figure masculine peu expliquer la première de ses images… et le fait que sa génitrice soi une toxico faisant le plus vieux métier du monde peu expliquer la seconde. Oui, quand à la récré on me disais « espèce de fille de p*te » la différence notable avec les autres enfants de mon âge était qu’au lieu de m’énerver je me demandée comment celui ou celle qui m’avais dis ça avait réussi à l’apprendre. Ah et si vous demandez à ma génitrice (ne vous attendez pas à ce que je l’appelle maman) qu’elle à était les pires années de sa vie, elle vous répondre très certainement les 9 mois durant lesquelles elle m’à eu dans son ventre et ce pour une raison tout à fais différentes des autres mères sur le point d’accoucher ! En général, une femme enceinte ce plain de douleur articulaire, de dérèglements hormonaux… Oui ma mère à eu tout ça, certes. Mais la grosse différences s’est qu’en plus de tout ça, elle vous expliquera que pour trouver un client en étant enceinte… bah s’est pas si facile que ça ! Ô bien sur il existe quelques tordues qui trouve ça très excitent mais, le monde est ainsi fait…
Mon géniteur tant qu’à lui ce trouve être un de ses clients… Après quelques années, la seule chose que j’ai pu lui arracher était qu’il était britannique et que son nom de famille était Jefferson… Enfin, ce que ma conceptrice avait réussi à lire quand le passeport de son client était tombé.
Voilà donc mes origines et mon enfance. Enfant non désiré d’une prostituée et d’un inconnu suffisamment désespéré pour s’adresser à une « professionnelle ». De surcroit, dieu dans sa grande bonté a décidé que la chose qui me sert de mère soi une Junkie. Ce qui en langage clair signifie la surveiller pendant des heures interminables lors d’overdose et de trouver de l’argent, la majorité que celui qu’elle touchée partant dans des doses injectables. Dès que j’ai appris à marcher et à penser de manière plus ou moins cohérente j’avais entrepris de trouver de l’argent… la façon la plus simple était encore de trainer aux aéroport et de faire les poches aux quelques malchanceux que je croisais… Comment soupçonner une petite fille d’à peine cinq d’être une pickpocket avertis ? Bien sur, ce n’était pas grand chose mais, j’avais de quoi de manger à ma faim. L’argent que je n’utilisais pas, je le conservais soigneusement dans une boite à chaussure que j’avais astucieusement caché, me disant qu’un jour, quand je serais plus grande et plus forte, je partirais loin d’ici. Et comme le dirais Aladin, « Manger pour vivre, voler pour manger c’est la meilleure des raison ! »

De plus, j’avais une alliée inattendue, la magie ! Sans vraiment que je ne saisisse comment, il arrivait que les porte feuille viennent tout seul à moi… ou bien que je devienne complètement invisible lors d’une course poursuite avec un touriste insatisfait de voir une gamine lui piquer quelques billets. Jusqu’à mes onze ans ma vie ressemblait à ça, un immense chant de bataille ou je devais sortir les crocs et me battre pour survivre. Puis un jours, une lettre mystère me fus remis pas nul autre qu’une chouette ! Une lettre était attachée à sa patte et en lisant, je découvris l’étrange vérité… J’’étais une sorcière ! Dans ma tête, ce mot avait une drôle de consonance, une sorcière ? Comme celle des compte qui vole sur des balais volant avec un énorme nez plein de verrue ? Je n’avais pas très envie de devenir une sorcière… mais en même temps s’était probablement la meilleure opportunité que j’aurais durant toute ma vie ! Je n’avais que peu d’affaire, un train passer à Saint Saint-Pétersbourg pour me prendre… Il ne me manquait qu’une seule chose. Une identité. Dans sa grande sagesse ma génitrice ne m’avais pas donné de nom, aux yeux de la loi, j’étais une sans-papier… Avec le recul je me dis que le ministère de la magie était bien loin des lois tribales des moldus quant aux statuts géographiques des gens. Bref, il fallait que je me fasse reconnaitre par ma mère, l’école exigeait un nom, un nom qui soi officiellement reconnus par les autorité. Un document me précisait les démarches à faire.
Attachais à cette lettre, un mot du ministère de la magie (Il y avait un ministère de la magie ?!!) avait noté quelque chose qui avait un lien direct avec la partie la plus nébuleuse de ma filiation :

« Melle

Suite à une enquête du ministère de la magie, nous vous délivrons ce certificat certifiant que votre père est un sorcier, vous donnant directement le droit d’intégrer les rangs de la prestigieuse académie de Durmstang. Pour des raisons de confidentialité, l’identité de cette personne ne vous sera pas révélé.

Sincère salutation
Gregory Biatov »

Cette simple révélation une étrange vague d’émotion dans mon être… j’avais l’impression que mon père était beaucoup moins éloigné de moi tout d’un coup… Mais il y avait plus important.
Impossible de convaincre ma créatrice, je ne voulais pas lui parler de magie, elle m’aurais traité de menteuse et m’aurais enfermer dans la cave jusqu’à la fin de la semaine. Ce jour là, j’ai vraiment changé. J’avais compris que pour Avoir ce que je voulais, je devais me battre comme un tigre, que je la manipule, que je la fasse souffrir… dans le cas contraire, comment pourrais-je y arriver ?
J’avais donc voler méticuleusement chaque seringue de l’appartement tendit que le son des gémissements d’un octogénaire qui finissait de besogner ma mère ce répercutait contre les murs de la maison. Quand il fut parti et que ma génitrice sortis de sa chambre, complètement nue pour avoir sa dose journalière elle entra dans une colère fulgurante. J’attendais qu’elle ce fatigue, elle ne s’imaginait pas une seconde que sa fille lui est fais un coup aussi bas… j’avais appris à me battre avec mes armes. Au moment ou elle était suffisamment à manque pour tomber par terre et dans l’incapacité totale de bouger je lui jetais les papiers à la figure, lui ordonnant de noter deux prénoms et de signer… Au bout d’un long quart d’heure, elle finis par former complètement des lettres… Je lui jetais ses doses, pareil à un chien qui n’avais pas eu sa pitance pour regarder se qui était noté… pendant que je lisais, je l’entais m’expliquer : « Pandore, car tu es le plus lourd maux de ma vie, Opium, comme cette drogue, ce poison qui m’empoisonne… Et Jefferson, car jamais je ne partagerais quelque chose avec toi, même un nom ! » Je n’avais fais qu’hocher les épaules, refusant de lui montrer à quel point ses mots me faisais mal… Ce jour là j’avais mon identité. Ce jour là j’avais gagné le droit de changer mon destin.
Les trois premières années d’étude à Durmstang étaient gratuites, une façon pour le ministère de s’assurer que les sorciers était un minimum éduqué avant de rentrer dans la vie active. Par contre, les fournitures scolaires elles… heureusement, j’avais mis de l’argent de côté ! Les tenues de l’école Russe étaient chères, très chère ! Renforcé avec des peaux d’ours pour lutter contre le froid, la moitié de mon argent fut dépensé ici. Ensuite, les autres objets étaient plus abordables, je m’arrangeais pour ne pas avoir à payé trop cher notamment en volant quelques trucs à l’insu des vendeurs. Ces derniers jetés des sorts pour bloquer certains sortilèges de cambriolage mais oubliaient qu’avec de simples mains et un peu de dextérité on faisait des merveilles ! Et enfin la baguette… Ah, comme j’étais excitée en rentrant dans ce magasin ! Des milliers de boite y étaient disposé, et une d’entre elle renfermé l’objet le plus important de toute ma vie. Pendant de longues minutes, le vendeur pris des mesures improbables, celle de mes narines, du lobe de mon oreille… A moment j’eu peur de tomber sur un pervers qui réclame que je me déshabille pour continuer à mesurer… Mais il n’en fis rien et au bout d’un moment, on trouva une baguette, que dis-je, LA baguette ! « Bois de prunellier avec un cheveu de sirène, remarquable pour la métamorphose et les sort d’attaque. » Et ce fut ma baguette… J’aurais beaucoup aimé rencontré la sirène à qui on avait pris un cheveux pour la remercier mais en y repensant, je ne suis pas sur qu’elle était consentante !

Les années passèrent paisiblement à Durmstang, je mangeais à ma faim, je n’avais plus besoin de voler… J’étais une bonne élève ! Ma mère ne savait même pas où j’étais, je ne rentré que pour les grandes vacances. Et là encore j’avais eu un coup de génie ! Enfin… les autorités compétentes ne seraient surement pas d’accord avec ma vision des choses mais, peu importe ! J’avais trouvé un moyen de me faire rapidement beaucoup d’argent. Combien de fois j’avais vu le dealer de ma mère ce promenait avec de grosse liasse de billet ? J’allais moi aussi devenir dealeuse, Durmstang était plein de sorcier qui cherchait un peu de piquant dans la vie ! Et je ne vous raconte pas les effets des drogues magiques… bref, sachez que je n’étais qu’une consommatrice occasionnelle de ce genre de substance. Rapidement je crée mon commerce en confiant la distribution à quelques amis. J’avais maintenant de quoi payer mes études à Durmstang jusqu’à la fin de ma scolarité.
Je crois que je ne peu raconter mon histoire sans vous parler la pire journée de ma vie… J’étais en vacances, chez ma génitrice et je n’avais que 14 ans. Je lisais un vieux livre de compte pour enfant sorcier. Soudain, un homme rentra précéder de ma créatrice. LE quadragénaire me regarda avec un petit sourire en coin avant de murmurer quelque chose à ma mère et de lui tendre une nouvelle liasse de billet. Cette dernière ce contenta d’hocher de la tête avant de prendre les billets et de les lancer sur la table du salon.
Le reste est assez flou, je ne me que de la poigne de l’homme qui me jeta sur le grand lit, il m’arracha les vêtements avant de mordre l’embryon de poitrine, quand ma génitrice l’eu complètement déshabillé, il pénétra en moi avec la force d’un taureau d’attaque, je m’étais dresser, avait essayer de lui crever les yeux… Pour toute réponse il me gifla avant tant de force que j’étais à deux doigts de l’inconscience… Tout ce que je sentais était une cuisante douleur dans mon bas ventre tendis que le rire gras de l’homme ce répercutait dans la pièce. Ma mère tant qu’à elle, s’était positionner sous l’homme, elle passait sa langue contre l’anatomie du blond tendis que ces dernières consumé ma virginité. Le moment qui reste le plus douloureux pour moi reste surement celui ou il laissa sa semence éclater dans mon ventre… Je me rappelle avoir vomis quand ce liquide chaud et gluant avait coulé le long de mes cuisses…
Après cette expérience, je n’avais pas bougé pendant deux jours. Nulle larme n’avait coulé le long de mon visage… J’étais juste stupéfaite… Je réussi cependant à ranger cette histoire dans un coin très sombre de mon cerveau… Je sais que ce n’est pas très saint, mais à qui voulez vous que je raconte un truc pareil ?!!
A partir de ce jour, j’avais fais des recherches sur l’émancipation et j’avais fais les démarches le jour même ! Il fallut trois ans pour y aboutir, la séance chez le psy viens de ce terminer à peine… J’irais à Poudlard ! En Angleterre, les personnes n’ayant pas les moyens de ce payer des études touchent une bourse… Là aussi j’avais fais le nécessaire et le premier versement aurai lieu dans une semaine. En plus la Menace Voldemort s’était écarté, maintenant, les Britaniques ne songeaient qu’à panser leurs blessures… Je trouverais ma place et peut être mon père dans ce pays ! Dans quelques heures j’arriverais devant les portes de Poudlard, en espérant que l’accueil y soi bon.

ϟ Astronomie : A
Difficile pour Pandore de regarder un ciel tapis d'étoiles tout en prêtant attention aux discours des enseignants. Tout est beaucoup trp féérique, aussi elle perd rapidement sa concentration et s'en sort avec des résultats assez... moyen.

ϟ Botanique : EE
Ah la botanique... laissez moi vous dire une chose, Pandore à la main verte ! Elle à l'habitude avec les plantes, ce qui explique surement qu'elle arrivait toujours à faire pousser de la Marijuana à l'époque ou elle était dealeuse et ce même à des température extrêmement froide.

ϟ Défense Contre les Forces du Mal : ??
Un cours qui n'est pas enseigné à Dursmtang, à la place c'est "l'art de la magie noire" qu'on y apprend... à savoir ce que ça va donner !

ϟ Histoire de la Magie : T
Mon dieu, comment peut on trouver intéressant des histoires vielles de plus de 300 ans ? C'est dans l'avenir qu'il faut regarder.

ϟ Métamorphose : EE
Sans être géniale dans cette matière, la jeune femme apprécie la rigueur et la précision requise pour jeter convenablement un sortilège dans cette école de la magie.

ϟ Potions : O
Poisons, filtre et autre petites fioles multicolores... la matière préférée de la brunette !

ϟ Sortilèges et Enchantements : A
Que dire de cette matière, si Pandore est une experte avec les sortilèges ménagées (mère toxico oblige) elle ne maitrise pas la majorité des sortilèges tant ils sont nombreux... Un point où elle espère progresser.

ϟ Duel Magique : O
Aussi étrange que cela puisse paraitre, Pandore était la championne en duel magique de Durmstang. Ses adversaires l'avait baptisé "le grizzly" très féminin n'était-il pas ?

ϟ Légimencie : EE
La légimencie est une matière que la jeune femme à longtemps étudié sans pourtant arrivé au niveau qu'elle aimerai atteindre. Comme bien souvent elle à appris à fermer complètement son esprit avant d'essayer de l'étendre vers d'autres personnes... Son objectifs premier est de maitriser cet art des plus difficiles.

ϟ Occlumencie : O
Si on veut cacher certaine chose, il faut maitriser l'occlumencie à la perfection afin d'être sure que personne risque de vous percez à jour. Ayant un gout très prononcé pour le secret, Pandore c'est jeté sur cet art comme une assoiffée de connaissance.

ϟ Sexualité : ??
Quand elle à reçus les documents à remplir pour intégrer Poudlard et qu'elle à vu que des cours de sexualité était dispensé, elle est partis dans un grand éclat de rire avant de cocher la case correspondante. A voir ce que sa donne concrètement mais, ça promet !